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    La nomophobie : une addiction à #internet

     

    Internet est aujourd’hui indispensable, une première forme d’addiction de société

     

    L’omniprésence d’internet dans notre quotidien facilite grandement nos moyens d’échanges. Actuellement, l’interaction entre les individus n’a jamais été aussi importante. Notamment dans le milieu #professionnel où le nombre de sollicitations ne cesse d’augmenter.

    Consulter ses mails, mettre en place une #veille quotidienne d’information, suivre ses réseaux sociaux : autant d’éléments décisifs à une journée de travail ordinaire.

    Cependant, cette réactivité numérique obligatoire a une répercussion sur notre comportement. L’hyperconnexion et le besoin d’immédiateté peuvent alimenter le stress, l’anxiété et peuvent avoir pour conséquence la perte de productivité.

    Un terme est apparu pour caractériser cette dépendance : « la nomophobie ».

    La nomophobie est extrait de l’expression anglaise « no mobile-phone » qui contracté a donné no mobile phobie soit nomophobie.

    Le mot était d’abord utilisé pour caractériser les personnes accros à leur smartphone. Or, de nos jours, il peut être plus couramment utilisé pour cibler la #cyberdépendance en générale.

     

     

    Comment se caractérise cette phobie ?

    Une #addiction se caractérise par le fait que la dépendance remodèle les voies neuronales pour créer un processus de désir, d’habitude, de plaisir, de régulation émotionnelle pour un objet ou une substance.

    Être accro à la connexion entre dans cette définition lorsque l’utilisateur prend #plaisir à seulement se connecter sur internet et y surfer sans but sans pouvoir en être conscient et s’arrêter.

    L’hyper connexion crée donc de nouvelles formes d’anxiété : anxieux d’en être déconnecté mais également ancieux d’être trop sollicité. Il existe un clivage entre la simple utilité professionnelle (et le stress lié au travail) et la surconnexion (où la technologie crée le stress).

    Néanmoins nécessaire à une pratique professionnelle, la cyber #dépendance peut devenir dangereuse.

    Alors quels sont les critères qui caractérisent l’addiction ?

    Les symptômes d’une addiction au numérique :

    • Impossibilité de résister à une pulsion, quand le besoin de se connecter est trop grand qu’on y cède
    • Une sensation de tension lorsqu’on est trop longtemps déconnecté
    • La perte de lucidité sur nos pratiques, le fait de ne plus être conscient de passer trop de temps sur l’ordinateur, voire pire, être complètement déconnecté du temps réel.

     

    Les jeunes un public particulièrement en danger

    La génération Z (12-22 ans) est la plus exposée à ce risque parce qu’ils sont « digital native » à savoir qu’ils sont nés avec l’outil internet. Ils ne peuvent pas imaginer le monde sans internet, pourtant pas si lointain qu’il n’y paraît.

    Le docteur Anne-Lise DUCANDA est un lanceur d’alerte qui a créé une #association COSE afin de mettre en garde les parents contre les effets négatifs des écrans sur les enfants. Pour le docteur Anne-Lise DUCANDA tous les enfants qui sont surexposés aux écrans ont les mêmes symptômes : ils sont dans leur bulle, ils ne regardent pas dans les yeux, ne parlent pas, ne s’intéressent pas au monde extérieur, le cortex frontal qui est une partie du cerveau rétrécit, ils ont un retard intellectuel, et s’isolent.

    De plus, il est prouvé que les adolescents sont en quête de personnalité et le #web y participe.

    En effet, le web est une plateforme d’intersection culturelle, informationnelle, multimédia mais c’est aussi une plateforme d’échanges d’avis personnels. Ainsi, les arguments pour s’y connecter et y passer du temps en quête d’une personnalité sont nombreux et les jeunes deviennent rapidement addicts.

    Un constat : l’addiction nécessite un besoin médical pour se déconnecter

    Le web stimule la dopamine

    L’addiction aux écrans remodèle les circuits neuronaux afin d’y assigner une valeur suprême à internet aux dépens d’autres préoccupations comme le travail, la famille ou tout simplement la vie.

    Ce processus rappelle la dépendance à la drogue. La drogue stimule la dopamine au même titre que la connexion. La dopamine est l’hormone de l’addiction, elle alimente le circuit de la récompense, et la dopamine est stimulée par les écrans.

    « Être addict », « être accro » mais pas encore « toxicomane » du web. Aujourd’hui, dans le français courant, l’addiction est un terme moins fort en sens que la toxicomanie.

    Ce qui explique l’absence d’inquiétude médicale autour du sujet actuellement.

    Il ne faut pas négliger l’ampleur du phénomène.

    Les premières critiques d’internet comment à émerger et se font une place dans l’actualité.

     

     

    Les prémices d’un problème d’envergure ?

    Avec la génération Z, puis les générations #futures, le phénomène risque de s’aggraver et personne ne peut réellement prévoir l’envergure des risques encourus.

    Les premiers phénomènes négatifs d’internet commencent à apparaitre et à prendre de plus en plus d’importance : FakeNews, Cyber sensibilité, cyber harcèlement.

    Le cyber harcèlement ou dans notre cas, la cyberdépendance affecte directement la santé de l’utilisateur d’internet. Un outil à l’origine destiné à améliorer nos relations sociales est en train de les mettre en péril.

    Face à tous ces troubles liés au digital, ne doit-on pas craindre la possibilité d’un futur secteur médical spécialisé dans les soins liés au numérique (au même titre que le secteur médical de la désintoxication ?). Des centaines de centres de désintoxication numérique existent déjà à travers le monde.

     

    Du fait que toutes nos interactions quotidiennes sont actuellement dépendantes d’internet, on peut penser que la société elle-même est à l’heure actuelle cyber addict. On peut s’inquiéter que les prochaines générations ne le soient de plus en plus à travers un phénomène de mimétisme, de reproduction de l’hyper-connexion qu’on retrouve chez les parents aussi bien du côté professionnel que personnel.

    Les plus jeunes utilisateurs, nés et directement plongés dans le web, sont particulièrement exposés au danger et laissent craindre une société 2.0 bien plus exposée par les risques d’internet, même sur notre santé : anxiété, perte de lucidité sur le réel, traitement de trop d’informations.

    Nicolas Crabié


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    Le référencement consiste avant tout à répertorier un site un peu partout sur le web. Il sert à vous amener des visiteurs : un gros pourcentage de vos visiteurs, car peu nombreux sont les internautes qui naviguent en entrant directement l'url du site, surtout si elle est compliquée mais certainement parce qu'ils ne la connaissent pas.

     

    Les généralités

     

    Instinctivement, on pense à Google. Pour y figurer (à moins que votre url figure en bonne place sur un site connu ; dans ce cas, GoogleBot vous aura certainement indexé)

    Mais figurer dans Google ne suffit pas à attirer les foules, car lors des recherches sur Google, les sites sont classés par popularité par rapport aux mots clés

     

    Plus le site (la page sur laquelle figure le backlink) est populaire, plus le lien aura de valeur.

     

    Pour que vos pages soient bien référencées, je vous conseille de les optimiser : chaque page devrait avoir une balise <title> explicite, accessibilité de vos pages correcte (W3C)...

     

     

     

    Vérifier la conformité de son site:

     

    voici un lien pratique et gratuit qui vérifiera si votre site respecte les règles W3C et donc s'il va bien être référencé par le "Bot" de Google.

     

    https://validator.w3.org/unicorn/?ucn_lang=fr

     

     

    Une des méthodes les plus utilisées est d'indexer son site dans un maximum d'annuaires.

    Mais voilà, tous les liens retour ne sont pas bons, il y a les liens en dur (les bons), les liens mous (les pas bons), les redirections, les liens javascript, ... Et pour couronner le tout, certains annuaires exigent un lien retour sur votre site pour leur annuaire, ou encore une taxe d'inscription.

    Pour ne pas perdre du temps avec les annuaires dont les pratiques citées ci-dessus sont monnaie courante, je vous conseille ce site : Annuaire-info (encore un lien en dur, comme quoi un bon site gagne rapidement en popularité ;) ), un annuaire d'annuaires, mais qui permet surtout de faire une sélection d'annuaires correspondant à ce qu'on cherche.
    L'annuaire le plus connu du web est DMOZ. Figurer dans cet annuaire est une preuve que son site est de qualité. Mais pour y arriver, bon courage. Pensez à sélectionner la bonne catégorie. En règle générale, n'espérez pas y figurer avant les six mois suivant votre proposition.

     

    Une petite astuce qui vous évitera bien des "copier-coller" de descriptions, mots-clés, ... : les balises meta. Générez-les ici et insérez-les dans votre page d'accueil.

     

     

    Les offres de positionnement :

     

    vous payez pour un résultat (sur quelques mots-clés choisis au début, on vous garantit d'apparaître en tête sur la page des résultats). La plupart du temps, c'est un résultat garanti, donc si ce n'est pas le cas, on vous rembourse (moins les frais d'inscription, de devis et de coiffeur :p ). Faîtes attention, car certains trichent en utilisant les liens sponsorisés (AdWords et compagnie). Et là, dès le résultat obtenu, vous pouvez dire adieu à votre positionnement.
    Comptez facilement quelques centaines d'euros pour ce genre d'offre.

    Les offres de backlinks: Là, ça va de 10 € à 500 € environ, il s'agit en général d'inscription par pack d'annuaires (G1annuaire, ...). Bon marché et beaucoup de backlinks, mais pas forcément de qualité (des centaines de liens sur des pages PR0, des annuaires abandonnés, ...). Il faut aussi savoir qu'obtenir en très peu de temps beaucoup de backlinks peut paraître douteux aux moteurs de recherche. Certains risquent de vous mettre sur leur liste noire (peu fréquent). Google vous mettra une petite sandbox (bac de sable : frein au positionnement de votre site, destiné principalement aux nouveaux sites. Vous trouverez plus d'informations sur les forums spécialisés, voir ma conclusion).

    Pour finir, je vais vous donner ci-dessous une petite liste des choses à ne pas faire (pour éviter d'être mal référencé, d'être mis sur blacklist (liste noire), etc.).

    Ne mettre aucun lien caché (même couleur que le fond).
    Ne pas proposer votre site plusieurs fois en très peu de temps au même site.
    Ne pas mettre trop d'url sur la même page (sauf peut-être la page partenaires).
    Ne pas remplir une page de mots-clés.
    En gros, ne cherchez pas à tricher, les bots (robots) des moteurs de recherche sont habitués depuis le temps.

    Et pour achever cette partie, voici une petite liste de choses appréciées par les moteurs de recherche.

    • Un contenu mis à jour régulièrement (le mieux serait d'ajouter une page de 300 mots minimum par jour).

    • Des pages dont la taille ne dépasse pas les 100 ko (images comprises).

    • Une page d'accueil ayant un poids de 40-50 ko avec les images (pensez aux bas-débits).

    • Un contenu complet, correctement orthographié, ...

    • Beaucoup de contenu (plus vous avez de contenu, plus vous pouvez espérer une fréquentation élevée).

    • La liste est encore longue, on va s'en tenir là.


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